Vivre une fin de remplacement long de 9 mois sans pouvoir dire au revoir ni à ses élèves ni à ses collègues avec lesquels on a eu tout le temps de vivre une vraie complicité professionnelle.
Être TZR, c’est cruel.
Vivre une fin de remplacement long de 9 mois sans pouvoir dire au revoir ni à ses élèves ni à ses collègues avec lesquels on a eu tout le temps de vivre une vraie complicité professionnelle.
Être TZR, c’est cruel.
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