New York. 1885.
Plongez dans le quartier le plus lugubre de la ville, temple de la prostitution, de la corruption, des vols et des meurtres. Michael McDowell pose son intrigue dans un cadre des plus sombres.
Puis, de la même manière que dans Blackwater, il utilise les relations familiales comme un vaste terrain de jeu.
Les rapports plus ou moins bienveillants qu’entretiennent les différents membres, les reproches qu’ils se lancent, l’importance de la réputation du clan, le désir de vengeance … sont autant d’outils narratifs au service d’intrigues denses et mouvementées.
Les personnages féminins sont particulièrement construits, affublés d’un caractère fort et d’une détermination à toute épreuve.
McDowell propose un roman noir, parfois glaçant, aux rebondissements macabres au cours desquels la vengeance est le seul guide de personnages déterminés à ne laisser personne impuni.
C’est violent, sombre, intense.
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